mardi 2 août 2011

Les congés fériés

Nous étions très excités à l`idée de célébrer la fête nationale du Pérou, mais on s`est vite rendues compte que cette fête nationale allait plus nous nuire qu`autre chose. Après avoir visité la Lima hétéroclite, nous avions très hâte de se rendre à Huacachina, un petit oasis au milieu du désert, prisé par les amateurs de sandboard (sorte de snowboard, mais sur les dunes de sable). Une fois arrivés et maintenant au nombre de 5, il était assez compliqué de se trouver un toit pour la nuit à prix raisonnable justement à cause de la fête nationale.Mais avec les talents de Milan pour bargainer on a su s`en tirer à bon compte. Le soir même, il était déjà trop tard pour franchir les dunes de sable car le soleil se couche tôt et il fait assez froid la nuit dans le désert. C`est le lendemain que, planche à la main, nous avons fait du sandboard. En fait, 2 descentes chacune nous ont suffi pour en avoir assez, surtout qu`à chaque fois on devait remonter la pente à pied. On s`est aussi laissés tentés par un tour de «buggie», une espece de voiture à grosses roues qui va très très vite dans le désert, qui nous emmene à des endroits pour faire du sandboard et qui va si vite qu`on se croirait dans le Goliath de la Ronde. Puis, le lendemain nous avons visité 2 vignobles de la région, qui est reconnue pour ses vins et ses Pisco (l`alcool national). Nous avons eu le droit à un fond de verre de chacun des alcools parfois difficiles à faire passer. Ensuite, nous avions en tête de prendre un bus de nuit pour partir à Arequipa pour arriver là-bas en matinée, mais encore une fois, à cause de la fête nationale, les gens prennent le bus pour retourner chez eux après être allés en visite chez de la famille. Du coup, les prix montent considérablement ( de meme que pour la nourriture, l`hébergement, bref pas mal tout) et on arrive plus à quitter Huacachina car la demande est plus grande que l`offre de places de bus. On aime bien Huacachina, mais c`est miniature et on ne sait plus quoi y faire sauf manger et dormir ! Rassurez-vous, nous avons pu dénicher de justesse des billets pour ce soir et nous avons passé la matinée aux Iles Ballestas, surnommés Iles Galapagos des pauvres. Nous partons donc ce soir, mais nous avons dû débourser environ 40 $ pour le bus tandis que le billet aurait dû nous couter la moitié du prix, mais bon ! Nous serons donc dermain à Arequipa,. surnommée la ville blanche, d`autres aventures à venir !

Sophie

1 commentaire:

  1. je suis tout à fait d'accord, après 2 descentes on a compris car la remontée des butes de sable à pieds est "un défi" !
    nous on l'avait fait à ICA et franchement c'est le fun ms une fois ds ma vie c'est assez :o) à quand les remonte pentes...

    RépondreSupprimer